Pyla-sur-Mer

La Co(o)rniche

Lieu de pure qualité française

La Corniche est un lieu aux coordonnées extraordinaires. Figure de proue du quartier de Pilat-Plage, vigie du bassin d’Arcachon, adossée à la plus haute dune d’Europe, elle est suspendue entre ciel et mer, arrimée entre sable et pinède.

« Un lieu au plus fort, au plus beau, au plus poétique, au plus surréel, au plus puissant de la nature ». Voilà résumé en quelques mots du créateur, designer et architecte insolite Philippe Starck, l’époustouflant spectacle offert depuis le site de La Co(o)rniche.

À la conjonction de phénomènes extraordinaires, ce paysage ne peut laisser personne indifférent. Il découvre l’immense Atlantique et l’entrée du bassin d’Arcachon, fermé au loin par la pointe du Cap Ferret.

L’hôtel, ses chambres, son restaurant et sa terrasse sont les premières loges de cette mer intérieure, « théâtre naturel avec des dimensions gigantesques, où se joue en permanence des forces telluriques ». On peut y admirer la géométrie variable du Banc d’Arguin, immense langue de sable qui affleure selon les heures et, relire dans le langage de la réalité les plus belles pages de « L’homme qui rit » de Victor Hugo, dont les évocations de la lune, de l’attraction, des courants pernicieux et bénéfiques, ont inspiré la création des tapis, que Philippe Starck a dessiné pour les chambres de l’hôtel.

Cet émerveillement perpétuel se prolonge par la situation unique de l’endroit « posé sur une sorte de magie, une sorte de miracle, une impossibilité qui est la plus grande dune d’Europe ». Un amoncellement de sable surréaliste, Grand site national, sur lequel La Co(o)rniche montre un point de vue unique.

À cette évocation de la mer, du sable, il convient d’ajouter celle des pins omniprésents. Le quartier de Pilat-Plage que délimite La Co(o)rniche s’est développé en totale harmonie avec eux. La clairvoyance et la persévérance de la famille Gaume qui est la gardienne de son développement, ont permis l’intégration absolue de l’architecture à la nature. Ainsi, à seulement quelques minutes d’Arcachon, la Co(o)rniche se déploie dans les contours d’un environnement préservé et encore vibrant de cette atmosphère, que recherchait les grandes fortunes le siècle passé.

A La Co(o)rniche, Philippe Starck ne célèbre pas uniquement la magie d’un lieu, il rend aussi hommage aux gens qui y vivent. Ferretcapien de cœur, il loue un territoire de « pure qualité française ». « Vous avez des fruits de mer de bonne qualité, des pâtisseries de très bonne qualité, un microclimat de très bonne qualité, vous avez des huitres qui sont les plus belles du monde ! Mais surtout des gens de qualité, pétillants et bourrés d’humour. »

L’entrée de l’hôtel ouvre sur le lobby conservé intact. Son bois sombre, ses fresques et son mobilier  d’époque, nous parlent des fantômes sympathiques du temps passé, de galantes et de gentlemen, des premières stars de cinéma, des peintres, des écrivains et de cette foule anonyme, tous passés ici pour la parenthèse d’un moment rare.

En contrepoint de cette authenticité préservée, s’élèvent des sculptures « posées par hasard », des sortes de vitrines de verre et d’acier poli qui contiennent comme des petits trésors. Philippe Starck les qualifie « d’objets intelligents, pour des gens intelligents, qui viendront dans ce lieu intelligent ». Des objets au murmure sensible, écho matériel des rêveries et de l’imaginaire des lieux, comme les reliques d’un paradis démocratique.

Les chambres sont réparties entre la maison principale et les cabanes. Dans la maison principale d’abord, on retrouve cinq types de chambres. De 25 à 60m2, chaque chambre a sa propre orientation et donc des vues différentes. Les cabanes quant à elles, sont de grandes chambres de 45m2 en moyenne avec terrasse de 18 m2, lit King size et canapé (sauf la Bassin), salle de bain avec douche italienne.

Pour La Co(o)rniche, Philippe Starck sort de ses codes de luxe habituel. Il applique dans l’aménagement l’alchimie d’un lieu qu’il décrit comme unique au monde «  par la rencontre d’un paysage et d’une nature au-delà du grandiose, une maison ancienne qui est le symbole même de la région et un bloc de vie incarné par William Téchoueyres. »

D’abord apparaît une grande maison néo-basque classique, caractéristique du style régional imposé par Louis Gaume et plébiscité tout autour du bassin. Un vieux tamaris semble en être le gardien immémorial. On y accède par une volée de marches en briques, pour aboutir à un carrelage surprenant composé de carreaux de ciment dépareillés qui forment comme un tapis persan fantasmagorique. À droite, des carrés potagers avec des herbes aromatiques distinguées par des petites étiquettes guident vers le restaurant et qui bien entendu seront utilisés par les chefs des lieux. En face, les portes s’ouvrent sur la réception de l’hôtel.

Pour vous restaurer, le rest(o! propose d’excellents plateaux de fruits de mer et le bar est le rendez-vous incontournable des habitants et visiteurs du Bassin. L’espace est convivial de rencontres et de retrouvailles entre habitués ou amateurs d’un soir !

Le spa ha(a)ïtza ouvert tous les jours de 10h à 20h et propose les soins de la marque REN Clean SkinCare® parce qu’elle s’impose comme la nouvelle référence cosmétique. Elle mise à la fois sur la performance, la pureté et le plaisir. Cette maison prône l’utilisation de produits naturels, avec une gamme de soins modernes aux bénéfices scientifiquement prouvés.

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